Pour arriver à ce résultat, je coupe une bouteille plastique à 15 cm de sa base puis j'ajoute un centimètre d'eau. Avec deux doigts je tiens le rebord de la bouteille, puis je rentre un bout de l'objectif de l'APN dans l'ouverture. De cette façon la main n'est pas visible sur la photo (vous pouvez toujours recadrer l'image avec un logiciel si cela vous semble nécessaire). Il suffit alors de se placer au-dessus d'une fleur en tenant l'accessoire comme expliqué ci-dessus et de shooter de l'autre.

Nota: Pour plus d'effets, il est préférable de choisir une bouteille d'eau gazeuse. Celle-ci comporte des renflements à sa base qui ressemblent à de petits réservoirs, l'eau viendra si placer tout naturellement.  Il est aussi préférable de faire ce genre d'expérience à l'ombre pour éviter le reflet  du ciel sur l'eau (voile blanc).

Une goutte d'eau en suspend sur un pétale de fleur,
c'est tout l'éclat de la lune qui se reflète en son cœur.
 Fragile,
elle tombe sur le buvard de la terre,
se disperse, s'infiltre… s'enterre.
Comme un rituel,
elle s'évapore, puis s'étiole,
s'unit à l'atmosphère... et s'immole.
Mille gouttelettes d'eau se jettent à la mer,
comme attirées par un aimant...
comme ça, par amour,
pour ne faire plus qu'un avec l'océan.

*Maritxan

Fleur d'altéa

 Ces photos me font penser à ces artistes qui pratiquent l'art de l'ombre.
Avec une paire de ciseaux et une feuille de papier noir, ils découpent la
silhouette ou le profil du passant. D'après ce que j'ai  lu dans Wikipédia,
les portraits dit à la silhouette, apparurent à la fin du XVIIe siècle et
au début du XVIIIe siècle.

Anecdote sur un portrait à la Silhouette qui n’était pas ressemblant.

« Si de vous j’ai mal rendu les traits, pourquoi gronder ?
Pourquoi cette humeur sombre ?
Peut-on faire d’heureux portraits,
Quand la beauté ne prête que son ombre ? »

Charles-Pierre Colardeau  (Poète français 1732-1776)

Source:  https://fr.wikipedia.org/wiki/Silhouette_(ar